Le 15 avril 2019, un incendie ravage Notre-Dame de Paris, l’un des joyaux du patrimoine français. Cinq ans plus tard, alors que la cathédrale s’apprête à rouvrir ses portes, l’événement continue de susciter des interrogations. Officiellement présenté comme un accident, il soulève des doutes qui vont bien au-delà de l’hypothèse d’une simple négligence. Ludovic Malot, économiste et auteur, explore des pistes troublantes dans une enquête minutieuse, mêlant faits concrets, analyses historiques et spéculations mystiques.
Dès le départ, les circonstances entourant l’incendie apparaissent suspectes. À 18h18, une alarme incendie se déclenche, mais la personne chargée de la sécurité, seule et inexpérimentée pour son premier jour, ne parvient pas à localiser l’origine du signal. Ce retard de près de 20 minutes est crucial : lorsque l’erreur est identifiée, le feu s’est déjà propagé de manière spectaculaire, atteignant en moins de deux heures des zones clés de la toiture et de la flèche. La vitesse de propagation, soulignée par Benjamin Mouton, ancien architecte en chef de Notre-Dame, est anormalement rapide. Il rappelle que les poutres de la charpente, composées de bois vieux de 800 ans, sont tellement denses qu’elles ne peuvent pas brûler comme du bois récent. À moins qu’un puissant accélérateur de feu n’ait été utilisé, une combustion naturelle de cette ampleur serait impossible.
Parmi les éléments clés de cette affaire, le rôle de la société Aubriat, mandatée en janvier 2019 pour traiter les poutres de la cathédrale contre un champignon, attire particulièrement l’attention. Le champignon incriminé, la mérule, n’a jamais été détecté dans la structure de Notre-Dame auparavant. Pourtant, cette société spécialisée a été chargée de pulvériser un gel sur l’ensemble des poutres. Ludovic Malot affirme que ce produit, dont la composition reste inconnue, pourrait contenir des agents inflammables. Plus étrange encore, le logo de la société, représentant une chouette, est un symbole récurrent dans des cercles occultes et ésotériques, notamment au sein de groupes comme le Bohemian Grove. Ces coïncidences renforcent les soupçons d’une intervention délibérée dans ce drame.
Un autre point troublant est l’apparition de fumées jaunes au cours de l’incendie. Ces fumées, attribuées officiellement à la fusion du plomb présent dans la structure, ont été interprétées par certains comme un signe de pratiques occultes. Dans certaines traditions mystiques, la fumée est utilisée comme un vecteur symbolique lors de rituels. Associée à Notre-Dame, un lieu chargé d’histoire et de spiritualité, cette vision renforce l’idée d’un événement dépassant le simple cadre matériel.
Le drame est également interprété à travers des prophéties. Nostradamus, célèbre pour ses visions de l’avenir, aurait prédit cet incendie avec une précision déconcertante. L’un de ses quatrains mentionne une « vraie flamme engloutissant la dame », une interprétation que beaucoup associent à l’incendie de la cathédrale en 2019. Ces prophéties, combinées à des discours énigmatiques d’Emmanuel Macron, comme sa célèbre phrase « la bête de l’événement est là », nourrissent des spéculations sur un éventuel rôle symbolique ou ésotérique des élites dans cette tragédie. Certains voient dans ses propos une référence à des pratiques cachées ou des luttes d’influence spirituelle.
Au-delà des questions autour de l’origine de l’incendie, les travaux de reconstruction de Notre-Dame suscitent également de vives critiques. Avec plus de 840 millions d’euros collectés grâce à des dons internationaux, le projet de restauration est marqué par un manque de transparence. Selon Ludovic Malot, une partie de ces fonds pourrait avoir été détournée. Par ailleurs, certains changements dans l’aménagement intérieur, comme le remplacement des vitraux historiques et la révision du mobilier liturgique, sont perçus comme une tentative de désacralisation. Ces modifications s’inscrivent dans un contexte plus large de transformation des monuments religieux en France, où plusieurs chapelles et églises ont récemment subi des rénovations controversées.
Enfin, une exposition organisée au Louvre par l’artiste Barbara Chesebrough vient renforcer l’idée d’un affrontement symbolique entre des forces spirituelles. Ses œuvres, souvent décrites comme sombres et ésotériques, sont exposées sous la pyramide du Louvre, un lieu déjà associé à des symboliques mystiques. Pour Ludovic Malot, cette exposition, combinée aux changements apportés à Notre-Dame, illustre une tentative de transformation culturelle et spirituelle visant à effacer les racines chrétiennes de la France.
Face à ces événements, Ludovic Malot et d’autres intervenants appellent les Français à se mobiliser pour protéger leur patrimoine. Ils demandent une enquête indépendante pour faire toute la lumière sur l’incendie et ses conséquences, ainsi qu’un contrôle renforcé sur l’utilisation des dons. Pour eux, ce drame dépasse le cadre d’un accident isolé : il symbolise un affrontement entre des visions opposées du monde, mêlant tradition, modernité, spiritualité et influences occultes.
Source : GÉOPOLITIQUE PROFONDE