Les grands esprits discutent d’idées, les esprits moyens discutent d’événements, les esprits médiocres discutent des personnes.
Soyez ouverts, amicaux et positifs avec toutes les personnes que vous rencontrez ; tout le monde mène un combat long et difficile.
Vous pouvez cacher aux autres une action répréhensible, mais jamais à vous-même.
La chute n’est pas un échec, l’échec, c’est de rester là où on est tombé.
La vie est trop courte et précieuse pour la passer à se distraire et à accumuler des trésors périssables. Cherchons plutôt à comprendre le véritable sens et à enrichir notre âme.
La liberté consiste à travailler quand on veut et à ne pas travailler quand on ne veut pas.
Celui qui saura gouverner sa maison tirera parti de tout, même de ses ennemis.
Il faut craindre l’amour d’une femme plus que la haine d’un homme.
La vie heureuse est tranquille et, pour celui qui peut s’examiner sans honte, rien ne le trouble parce qu’il ne se reproche aucun crime.
Il n’est pas de bien plus précieux qu’un excellent ami.
La tranquillité est le plus grand des biens.
Être sage dans la prospérité, c’est savoir marcher sur la glace.
Si la mort était la fin de tout, ce serait un grand avantage pour les méchants.
L’homme a besoin d’un dieu ; s’il ne le voit pas au ciel, il s’en fait un sur la terre.
Seul l’amour connaît le secret de s’enrichir en donnant.
Les bienfaits que nous avons reçus de nos parents sont les plus grands de tous.
Rien n’est plus difficile que la jeunesse.
N’oublie jamais que tout est éphémère ; alors tu ne seras jamais trop joyeux dans le bonheur ni trop triste dans le chagrin.
Le bonheur, c’est le plaisir sans remords.
Nos jeunes aiment le luxe, ont de mauvaises manières, se moquent de l’autorité et n’ont aucun respect pour l’âge. À notre époque, les enfants sont des tyrans.
Que celui qui veut mouvoir le monde se meuve d’abord lui-même.
Je crois qu’on ne peut mieux vivre qu’en cherchant à devenir meilleur ni plus agréablement qu’en ayant la pleine conscience de son amélioration.
Disposer de temps est la plus précieuse de toutes les richesses du monde.
Il n’y a point de travail honteux.
On compte plus facilement ses moutons que ses amis.
Nul n’est méchant volontairement.
Existe-t-il pour l’homme un bien plus précieux que la santé ?
On obtient l’amitié d’un homme en cultivant en soi les qualités qu’il estime.
Employez votre temps à vous améliorer grâce aux écrits des autres ; ainsi, vous apprendrez facilement ce qui leur a demandé beaucoup de travail.
Celui qui ne se contente pas de ce qu’il a ne se contenterait pas non plus de ce qu’il voudrait avoir.
Si vous êtes un homme de bien, on aura autant de confiance en votre parole, qu’au serment.
Ainsi ce qui est utile est beau relativement à l’usage auquel il est utile.
Il en est d’une belle vie comme d’un beau tableau : il faut que toutes les parties en soient belles.
Dans tous les cas, mariez-vous ; si vous tombez sur une bonne épouse, vous serez heureux, et si vous tombez sur une mauvaise, vous deviendrez philosophe, ce qui est excellent pour l’homme.
Nous ne nous approchons de la vérité que dans la mesure où nous nous éloignons de la vie.
Un homme qui a faim n’examine pas la sauce.
Tout ce que je sais, c’est que je ne sais rien.
Mieux vaut la réflexion que la colère sans raison.
Faites en sorte que vos expressions soient toujours le miroir de vos pensées.
Être homme de bien et ne pas chercher à le paraître, c’est le vrai chemin de la gloire.
Il vaut mieux apprendre tard que rester ignorant.
Un grand homme montre sa grandeur dans la manière dont il traite les petites personnes.
Un homme doit-il se marier ? Quoi qu’il fasse, il se repentira.
Quel est le moyen d’acquérir une bonne réputation ? C’est de se rendre tel que l’on veut paraître.
Si le mal qu’on dit de moi est vrai, cela servira à me corriger ; s’il ne l’est pas, cela ne me concerne pas, car ce n’est pas de moi qu’on parle.
Les jeunes gens qui cherchent à se marier ressemblent aux poissons qui jouent devant la nasse du pêcheur ; tous se hâtent et se pressent pour y entrer, tandis que les malheureux qu’elle retient font de vains efforts pour en sortir.
Lorsque quelqu’un vient vous rapporter un fait qui ne vous concerne pas, posez-vous d’abord ces trois questions : ce qu’il s’apprête à vous dire est-il vrai, est-il bien, est-il utile ? Si ce n’est pas le cas, ne l’écoutez pas.