Les questions les plus évidentes sont souvent celles qu’on nous décourage le plus fortement de poser. L’une d’entre elles, l’une des plus taboues depuis trente ans, concerne ces traînées persistantes laissées par les avions dans le ciel. Que sont-elles exactement ? Certains parlent de chemtrails, affirmant que le gouvernement américain pulvérise des substances sur la population. Ces personnes sont systématiquement qualifiées de conspirationnistes par les médias et les encyclopédies en ligne. Pourtant, ces traînées existent bel et bien et l’explication de la simple vapeur d’eau ne convainc personne.
Dane Wigington, un ingénieur du nord de la Californie, étudie ce sujet depuis près de trente ans. Son organisation, Geoengineeringwatch.org, a compilé ce qui constitue probablement le dossier le plus complet sur le sujet.
La terminologie scientifique contre la marginalisation
Dane Wigington insiste sur l’importance du vocabulaire employé. Le terme « chemtrails » a été conçu comme un outil de marginalisation instantanée. Dès qu’il est utilisé, les élus refusent de discuter et les médias vous discréditent immédiatement. Les termes scientifiques appropriés sont les suivants : gestion du rayonnement solaire, injection d’aérosols stratosphériques, amélioration de l’albédo des nuages ou, plus simplement, géo-ingénierie climatique.
L’organisation Geoengineeringwatch.org est la seule entité à avoir affrété un laboratoire volant de la NOAA (Administration nationale océanique et atmosphérique) avec des scientifiques de haut niveau afin de prélever des échantillons de ce que ces avions émettent en altitude. L’analyse, réalisée par l’Institut polytechnique Rensselaer de New York, a révélé la présence de nanoparticules d’aluminium, un élément toxique pour toutes les formes de vie, et explicitement mentionné dans de nombreux brevets de géo-ingénierie.
L’objectif affiché et ses conséquences
L’objectif officiel de ces programmes serait de réfléchir une partie de l’énergie thermique solaire afin de ralentir le réchauffement climatique. Cependant, selon les recherches de Wigington, ces opérations aggraveraient la situation au lieu de l’améliorer. Elles seraient également utilisées comme une forme de guerre météorologique.
Les tests effectués en collaboration avec l’université du Minnesota sur environ 500 échantillons ont permis d’estimer qu’entre 40 et 60 millions de tonnes de nanoparticules sont dispersées chaque année dans le ciel du monde entier. Ces particules contiennent de l’aluminium, du baryum, du strontium, du manganèse, des tensioactifs, des fibres polymères et du graphène.
Un précédent historique : l’opération Popeye
L’armée américaine a une longue histoire de manipulation météorologique. L’opération Popeye, menée au Vietnam, a été si efficace pour contrôler les précipitations que la communauté internationale s’en est inquiétée. En 1976, des traités internationaux ont été adoptés pour interdire la manipulation météorologique en temps de guerre, mais pas au-dessus de la population d’un pays.
Dès 1962, le président Lyndon Johnson déclarait publiquement que les États-Unis avaient le pouvoir de contrôler la couche nuageuse mondiale, ajoutant que « celui qui contrôle la météo contrôle le monde ».
Les technologies de contrôle atmosphérique
Des installations comme le projet HAARP en Alaska sont présentées comme de simples centres de recherche, alors qu’elles constituent des armes de destruction massive. Ces chauffeurs ionosphériques transmettent 3,6 millions de watts à l’ionosphère chargée électriquement, provoquant ainsi des réactions en chaîne. En manipulant les zones de pression atmosphérique, il est possible d’influencer la trajectoire des ouragans.
Selon Wigington, son équipe aurait enregistré en temps réel les transmissions de fréquences ayant influencé l’ouragan Helene et l’ouragan Harvey. Comment les météorologues auraient-ils pu prévoir sept jours à l’avance que l’ouragan Harvey resterait immobile pendant trois jours au même endroit ?
L’effondrement des populations d’insectes et d’arbres
Les abeilles ont connu un effondrement de 70 % cette année, ce qui représente 70 % des 20 % restants. Les populations d’insectes terrestres et aquatiques ont quant à elles décliné de 80 à 90 % à l’échelle mondiale. Selon des études scientifiques récentes, le plancton de l’Atlantique a chuté de 90 %, ce qui menace le plus grand producteur d’oxygène de la planète.
La couverture forestière mondiale a diminué de 66 % par rapport aux niveaux d’avant la civilisation. Le tiers restant est en train de mourir. L’aluminium présent dans les pluies acides empoisonne les systèmes racinaires des arbres, qui ferment alors leurs stomates et cessent de respirer correctement.
Les tests biologiques sur la population
Selon le Washington Post, l’armée américaine aurait mené au moins 239 tests biologiques à ciel ouvert sur des civils américains innocents et non informés en 1977. Selon des études scientifiques, les retombées des essais nucléaires menés au Nevada auraient tué au moins 700 000 Américains.
Le docteur Ken Caldera, ancien scientifique du département de la Défense et deuxième géo-ingénieur le plus reconnu au monde, a déclaré dans un enregistrement audio détenu par Geoengineeringwatch.org qu’il avait conçu des méthodes pour pulvériser des pathogènes dans les nuages afin d’infecter les populations situées en dessous.
Les incendies comme arme militaire
Un document militaire américain de 140 pages intitulé « Les incendies de forêt comme arme militaire » a été découvert. Il identifie 17 sites aux États-Unis comme zones d’étude, dont Los Angeles. Les nanoparticules d’aluminium sont si efficaces pour provoquer des incendies qu’elles sont utilisées dans les démolitions militaires. Cette poussière incendiaire recouvre le sol et le feuillage, rendant tout plus volatile.
Dans le cas de l’incendie de Palisades, il n’avait pas plu depuis huit mois. Ce n’est pas un accident, selon Wigington.
Les efforts législatifs en cours
Une législation visant à interdire la géo-ingénierie dans leur espace aérien est en cours d’élaboration dans 36 États américains. Le Tennessee et la Floride ont déjà adopté de telles lois. Wigington est en contact avec des conseillers du gouverneur DeSantis et a eu une réunion d’une heure avec le docteur Ladapo à ce sujet.
Dane Wigington a également rencontré Gavin Newsom en privé au Capitole de Californie, lui fournissant des données sur les catastrophes de sécheresse à venir. Aucune réponse n’a suivi.
Un appel à l’éveil collectif
Selon Wigington, seule la révélation complète de ces programmes au grand jour peut changer la donne. En partageant des données crédibles provenant de sources fiables et en montrant des images satellites choquantes que la NASA tente de supprimer, il espère créer suffisamment de brèches dans le mur du silence pour que la vérité éclate au grand jour.
Il rappelle que chaque respiration que nous prenons est remplie de ces nanoparticules. Des études montrent que ces particules sont désormais présentes dans les cerveaux, les poumons et tous les organes humains. C’est une contamination ubiquitaire de la planète, et pour Wigington, c’est un combat pour la vie elle-même.
Source : Tucker Carlson































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