Récemment, Bobby Kennedy, figure emblématique et critique acerbe des élites mondiales, a déclenché une tempête médiatique en s’attaquant directement à Bill Gates. Dans une intervention mordante et percutante, Kennedy a soulevé des accusations qui mettent Gates dans une position délicate. Dons politiques cachés, manipulations vaccinales et relations douteuses : le tableau peint par Kennedy est loin d’être flatteur, et Gates semble embourbé dans une série de scandales qui pourraient bien le rattraper.
Bobby Kennedy ne mâche pas ses mots. Il commence par dénoncer un don de 50 millions de dollars que Gates aurait discrètement acheminé à la campagne de Kamala Harris via une structure 501(c)(4), une manœuvre permettant de camoufler les origines de contributions massives. Kennedy ironise : est-ce un élan patriotique ? Un acte altruiste ? Rien de tout cela, affirme-t-il. Ce genre de financement, souvent qualifié de « dark money », est conçu pour acheter de l’influence politique. Les dons politiques, rappelle Kennedy avec une pointe d’humour acerbe, ne sont pas des œuvres de charité comme une collecte pour un toit d’église. Non, ces 50 millions de dollars sont une manière détournée d’imposer sa volonté sur la scène politique.
Mais ce n’est que la pointe de l’iceberg. Kennedy poursuit avec une autre révélation : Bill Gates aurait été inculpé aux Pays-Bas pour des mensonges liés aux vaccins contre le COVID-19. Selon lui, Gates aurait promu des campagnes de vaccination motivées par des intérêts financiers et stratégiques, tout en laissant les pays les plus pauvres à la traîne. Derrière l’image de bienfaiteur mondial, Kennedy brosse un portrait bien différent : celui d’un homme qui instrumentalise la santé publique pour renforcer son emprise sur le globe.
Et que dire des relations sulfureuses entre Gates et Jeffrey Epstein ? Kennedy n’hésite pas à évoquer ces liens, suggérant que ces associations jettent une lumière troublante sur les motivations de Gates. Il dépeint Gates comme une figure du « globalisme » : un pouvoir flou, diffus, mais terriblement efficace pour contrôler les ressources et les décisions à l’échelle mondiale.
Kennedy s’en prend également aux institutions complices de cette concentration de pouvoir. Médias, bureaucraties, finances : pour lui, tout un système est bâti pour protéger ces élites tout en étouffant les voix qui osent les défier. Il se moque des tentatives visant à le discréditer, lui et d’autres figures comme Joe Rogan ou Tucker Carlson, en les étiquetant « complotistes ». Ce ne sont pas eux, insiste Kennedy, mais bien les élites mondiales, qui orchestrent ces manipulations pour maintenir leur domination.
Pour Kennedy, il n’y a rien à sauver dans ce système corrompu. Bill Gates, autrefois célébré comme un génie philanthropique, est directement pointé du doigt comme l’incarnation même de cette élite mondialisée, accusée de manipuler les institutions pour asseoir son pouvoir.
Source : Russell Brand