Jean-Pierre Petit, ingénieur et physicien spécialisé en magnétohydrodynamique, ancien directeur de recherche au CNRS et auteur de livres sur l’ufologie, expose des révélations déconcertantes sur des technologies militaires secrètes. Ces outils, liés à la manipulation du climat, aux armes sismiques et biologiques, paraissent parfois sortis de la science-fiction, mais ils reposent sur des faits concrets, selon ses affirmations basées sur ses liens passés avec l’armée.
Manipulations climatiques historiques
Des précédents existent, comme les interventions au Vietnam pour influencer la mousson. Un article du New York Times a révélé ces opérations, menées depuis la Thaïlande sur le Laos, le Vietnam et le Cambodge, sous l’égide de Henry Kissinger et de la CIA, sans autorisation officielle. L’objectif était d’embourber les routes, de provoquer des glissements de terrain et des inondations prolongées. Ces faits sont documentés, avec des témoignages des responsables impliqués.
À l’époque, ces manipulations reposaient sur une connaissance approfondie des mécanismes météorologiques. En dispersant des substances qui bloquent l’apport énergétique du soleil dans l’atmosphère, on crée des déséquilibres menant à des inondations ou d’autres phénomènes. Les militaires, principaux acteurs de ces techniques, peuvent ainsi agir précisément pour générer des effets désirés.
Le rôle de HAARP et des technologies similaires
Les difficultés de communication radio avec les sous-marins, dues à l’épaisseur d’eau, ont conduit à des innovations. Les ondes à très basses fréquences nécessitent de grandes antennes, comme celles installées en France sur un plateau sud. Une alternative utilise l’ionosphère, à 80 kilomètres d’altitude.
Le projet HAARP, aux États-Unis, emploie des émetteurs de micro-ondes pour ioniser cette couche, créant des oscillations de plasma à grande échelle. Cela permet des communications à très longue distance avec les sous-marins. De plus, en croisant des faisceaux de micro-ondes, on forme des surfaces ionisées invisibles servant de miroirs pour réfléchir les ondes, facilitant les échanges mondiaux.
Les Russes ont développé un équivalent, Sura, initié en 1983 pour étudier l’ionosphère sous des tirs d’électrons, visant aussi les communications sous-marines. Ces installations, présentes sur tous les continents – comme EISCAT en Europe ou une plateforme au Japon – soulèvent des craintes de dérèglements climatiques, en modifiant le comportement de l’ionosphère.
Armes météorologiques avancées
Avec ces technologies, on peut créer des zones chaudes et froides dans l’atmosphère. En dispersant des nanoparticules pour bloquer la chaleur solaire d’un côté, et en utilisant des micro-ondes pour percer des trous de l’autre, on génère des différences de pression et de température. Cela provoque des tempêtes violentes, avec des vents à 200 kilomètres par heure, sur plusieurs jours.
Les nanoparticules, minuscules, chutent lentement et persistent longtemps. Elles peuvent interagir avec les micro-ondes, et leurs retombées ont des effets collatéraux sur la santé et l’environnement, comme lors des essais nucléaires à Mururoa, où des populations ont été exposées sans information, menant à des cancers.
Armes sismiques et leurs mécanismes
En 1983, lors d’un colloque à Chicago, des contacts avec des chercheurs russes ont révélé des générateurs magnétohydrodynamiques couplés à des propulseurs à poudre, transportables sur camions. Ces dispositifs produisent des puissances de dizaines de mégawatts pendant de courtes durées.
Pour une arme sismique, on fore des trous dans le sol pour y insérer des électrodes reliées à une nappe phréatique. En y injectant des milliers d’ampères, on génère de la vapeur, créant une pression immense. Dans une zone de faille, comme celle de San Andreas, cela déclenche un séisme, avec des effets se propageant sur des centaines de kilomètres. C’est discret et efficace, comparable à actionner une détente avec une énergie minimale pour un impact majeur.
Armes biologiques et cancérigènes
Les armes biologiques permettent de créer des épidémies. Des recherches sur les micro-ondes pulsées à 3 gigahertz visaient à briser l’ADN de virus comme celui du sida dans les lymphocytes. Des documents militaires français évoquent la création d’armes cancérigènes, montrant une capacité à induire des maladies via des rayonnements.
Armes à énergie dirigée et lasers
Dès 1975, des informations sur des lasers puissants américains circulaient. Visités en 1976 à Livermore, ces lasers atteignaient un térawatt. Les armes à énergie dirigée incluent lasers continus ou pulsés, armes à particules et micro-ondes, transportant l’énergie sur de grandes distances.
Elles visent des satellites à des milliers de kilomètres avec une précision extrême. Des lasers à rayons X ou gamma pourraient induire des réactions nucléaires. Les micro-ondes, comme dans les fours domestiques, chauffent ou détruisent, mais avec des risques cancérigènes dus aux lobes secondaires. Elles servent aussi au contrôle de foules ou à griller des systèmes électroniques.
Les sources d’énergie peuvent être des bombes atomiques, générant des impulsions massives. Des essais nucléaires souterrains discrets, masqués comme des tirs de mine, polluent sans bruit, ignorant les impacts environnementaux.
Armes catastrophiques et perspectives
En 2018 ou 2019, Vladimir Poutine a annoncé des armes imparables, comme des drones sous-marins nucléaires créant des tsunamis avec des vagues de 500 mètres via des explosions de 100 à 150 mégatonnes. Ces technologies, anonymes, posent des questions sur l’hyperthélie – un dépassement évolutif potentiellement handicapant.
Pour Jean-Pierre Petit, ces avancées visent peut-être les voyages interstellaires, étendant le champ relationnel humain. L’évolution mène à plus de complexité, mais la maturité manque. Des solutions existent pour stabiliser la démographie et résoudre les crises, si l’humanité surmonte ces défis.
Source : La vérité est ailleurs 2































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