Depuis environ trois décennies, les responsables du nouveau projet Manhattan saturent notre atmosphère avec un mélange chimique complexe pulvérisé depuis l’arrière de leurs aéronefs. Cette pulvérisation ne correspond pas aux émissions normales d’un moteur à réaction. Contrairement aux affirmations de ceux qui nient cette réalité, les épandages de chemtrails les plus courants contiennent principalement de l’aluminium, du baryum et du strontium, dans cet ordre d’importance.
Des centaines d’analyses de laboratoire menées à travers le monde ont confirmé ces résultats. Les échantillons d’eau de pluie collectés en Europe et en Amérique révèlent systématiquement des concentrations élevées de ces trois éléments. Ces données sont disponibles sur de nombreuses plateformes spécialisées, et d’innombrables autres analyses vérifiables ont été publiées dans le monde entier.
Fonctions distinctes de chaque substance
L’oxyde d’aluminium constitue la substance principale de ces pulvérisations. Le nouveau projet Manhattan utilise ces particules d’oxyde d’aluminium pour modifier les conditions météorologiques. Lorsque ces particules microscopiques sont dispersées puis activées par l’énergie électromagnétique appropriée, elles se réchauffent. Cette perturbation électromagnétique des particules atmosphériques représente la caractéristique distinctive du nouveau projet Manhattan.
Quand de grands volumes de particules dans la basse atmosphère sont chauffés, une zone de haute pression se forme. Cette capacité à créer des zones de haute pression permet de déplacer les systèmes de basse pression environnants. En combinant la capacité documentée de chauffage de l’ionosphère avec celle de modification des courants d’air, ainsi que de nombreuses autres techniques, il devient possible de modifier le temps.
Le baryum remplit une fonction différente : il sert de traceur pour la collecte de données atmosphériques plutôt que pour la modification météorologique. Son efficacité comme traceur provient de sa capacité à devenir radioactif, ce qui le rend bien visible sur les radars. La littérature scientifique relative à la modification climatique et aux sciences atmosphériques regorge de références à des matériaux radioactifs comme le baryum utilisés comme traceurs atmosphériques.
Un rapport de 1962 de l’Académie Nationale des Sciences, intitulé « Les sciences de l’atmosphère de 1961 à 1971 », précise : « Les substances radioactives ayant des demi-vies appropriées, quand elles sont pulvérisées dans l’air, sont très utiles comme balises pour étudier les mouvements de l’air à de multiples échelles. Les traceurs utilisés en quantités suffisantes à cette fin pourraient ajouter énormément à notre connaissance des courants de l’atmosphère et de leur dispersion dans les masses d’air. »
Le strontium comme catalyseur
Bien que les raisons précises de la présence de strontium dans les analyses restent mal comprises, cette substance peut servir de catalyseur photosensible. Il pourrait être utilisé pour libérer l’aluminium lié sous forme d’oxydes lors d’une exposition aux UV et à la lumière visible. L’aluminium libre présente une conductivité bien supérieure à l’oxyde d’aluminium, permettant ainsi une meilleure propagation des ondes électromagnétiques du nouveau projet Manhattan.
À l’ouest des Rocheuses, le strontium pourrait également provenir des retombées de la catastrophe nucléaire de Fukushima. Les courants ascendants des tempêtes sur l’océan Pacifique peuvent transporter du strontium depuis Fukushima, où des produits radioactifs et des polluants atmosphériques continuent de se déverser dans l’eau de mer.
Développement historique de l’aluminium
Depuis au moins 1954, les chercheurs ont développé des formulations d’aluminium finalement utilisées dans le nouveau projet Manhattan actuel. Cette évolution chronologique de la nucléation à l’aluminium pour la modification météorologique révèle une progression scientifique constante.
En 1958, Norihiko Fukuta de l’Université de Nagoya au Japon publia un document intitulé « Enquêtes expérimentales sur la capacité de formation de glace de diverses substances chimiques ». Ce travail référençait un document antérieur de 1954 d’Asada, Saito, Sawai et Matsumoto, qui avait découvert l’efficacité de l’oxyde d’aluminium comme agent de nucléation.
Le brevet américain de 1962, numéro 3 274 035, « Composition métallique pour la production de fumée hygroscopique » de Lohr A. Burkardt et William G. Finnegan, décrivait comment l’aluminium, le baryum et le strontium pouvaient être utilisés dans « un mélange qui produit de la fumée hygroscopique pour influencer le temps ».
Les contributions de Zettlemoyer
En 1964, la Fondation Nationale pour la Science présenta le travail du Dr Albert Zettlemoyer, une figure importante dans ce domaine. Zettlemoyer découvrit que de petites particules combinant des zones hydrophiles (attirant l’eau) et hydrophobes (résistant à l’eau) pouvaient retenir davantage d’eau que les particules uniformément hydrophiles.
Selon le 6ème rapport annuel de la NSF sur la modification du temps, Zettlemoyer établit qu’« un rendement optimisé de nucléation est obtenu lorsque 20 à 30 % de la surface de nucléation sont recouverts de zones hydrophiles et que le reste de la surface est hydrophobe ». Ses recherches montrèrent que les silices, les argiles, l’alumine, la bauxite et la magnésite constituaient de bons matériaux de nucléation après traitement approprié.
Évolution vers la géo-ingénierie moderne
En 1991, le brevet américain numéro 5 003 186, « Ensemencement stratosphérique Welsbach pour réduire le réchauffement climatique », fut attribué à la société Hughes Aircraft. Ce brevet décrivait une méthode de dispersion de particules dans la haute atmosphère pour lutter contre le réchauffement climatique, suggérant l’utilisation d’oxyde d’aluminium à cette fin.
Au milieu des années 1990, Edward Teller des laboratoires scientifiques de Lawrence Livermore, accompagné de Lowell Wood et Roderick Hyde, rédigea une série de documents préconisant la pulvérisation de mégatonnes d’aluminium pour contrer le réchauffement climatique. Cette période coïncide avec les premiers témoignages massifs de pulvérisations de chemtrails dans le ciel américain.
Dans leur article de 1997 « Réchauffement climatique et âge glaciaire », le trio des laboratoires Livermore écrivait : « On a proposé que de l’alumine soit injectée dans la stratosphère, par l’échappement des moteurs de fusée au propergol solide, ce qui pourrait renvoyer des quantités non négligeables de lumière solaire dans l’espace. »
David Keith et Harvard
En 2010, David Keith, figure majeure de la géo-ingénierie, suggérait dans son document « Lévitation photophorétique d’aérosols artificiels en géo-ingénierie » l’utilisation de particules constituées d’aluminium et de baryum pour modifier le climat. Keith, professeur à l’Université d’Harvard, a reçu des subventions de géo-ingénierie du Fonds de recherche innovante sur l’énergie et le climat, financé par des dons de Bill Gates.
En 2012, le journal de la modification du temps publia un article intitulé « Un agent de nucléation pour l’ensemencement des nuages qui n’est pas l’iodure d’argent, mais l’alumine (Al2O3) ». Les auteurs William G. Finnegan et Lee Ates proposaient de pulvériser de l’alumine pour modifier le temps et remplacer l’industrie traditionnelle de l’iodure d’argent.
Questions relatives à la taille des particules
Les particules d’aluminium dispersées dans le cadre du nouveau projet Manhattan peuvent être ou non de taille nanométrique. Cette question revêt une importance capitale car les particules d’aluminium nanométriques, une fois inhalées, passent directement dans le sang et le cerveau, provoquant une multitude de troubles neurologiques.
La littérature scientifique indique diverses tailles optimales. En 1963, Zettlemoyer concluait que la taille des particules devait aller de 0,01 à 10 microns, soit de 10 à 10 000 nanomètres. Un rapport de 1970 de la NOAA mentionnait des particules d’aluminium efficaces entre 0,05 et 1 micron (50 à 1000 nanomètres). David Keith proposait en 2010 des particules d’environ 20 microns (20 000 nanomètres).
L’effet Welsbach et la résonance
Pour que les pulvérisations soient efficaces, les particules dispersées doivent interagir correctement avec l’énergie électromagnétique appliquée. Lorsque les particules d’aluminium sont activées par la bonne fréquence électromagnétique, elles se réchauffent. Cette fréquence de chauffage optimale est appelée « fréquence de résonance ».
Quand de grandes masses de particules d’alumine atmosphériques sont chauffées par une énergie électromagnétique spécifique, elles se comportent comme un plasma. Les particules d’aluminium chauffées font résonner les particules environnantes par un phénomène appelé « effet Welsbach », démontré dans le manchon d’une lanterne à gaz.
Le nouveau projet Manhattan transforme notre atmosphère en un manchon gigantesque où les pulvérisations de chemtrails constituent la matière du manchon et l’énergie électromagnétique appliquée fournit l’activation nécessaire.
Cette enquête révèle une évolution historique cohérente dans le développement de technologies permettant de disperser de l’aluminium, du baryum et du strontium dans l’atmosphère à des fins de modification climatique. Les preuves documentaires, s’étendant sur plusieurs décennies, établissent une continuité entre les recherches scientifiques initiales et les applications contemporaines observées dans le cadre du nouveau projet Manhattan.
Sources :
www.cielvoile.fr
www.wakingtimes.com