Et si tout ce que nous pensions savoir sur l’effondrement des tours du World Trade Center reposait sur une mauvaise définition du problème ? C’est la question centrale posée par le Dr Judy Wood, ingénieure et scientifique, qui propose une lecture radicalement différente des événements du 11 septembre. Loin des théories classiques du complot ou de la version officielle, elle s’attache à une analyse forensique des preuves physiques laissées sur le site.
Cette conférence ne cherche pas à déterminer « qui » a commis l’acte, mais s’attarde exclusivement sur le « quoi » et le « comment ». Selon Judy Wood, les preuves pointent vers l’utilisation d’une technologie capable de réduire l’acier en poussière en plein vol : une arme à énergie dirigée.
La méthode scientifique : définir le problème avant la solution
La démarche de Judy Wood repose sur un principe fondamental de la résolution de problèmes : l’ordre des opérations. Elle souligne qu’avant de chercher une théorie (bombes, thermite, avions), il faut d’abord observer froidement les données pour comprendre ce qui s’est réellement passé. Si l’on commence par une théorie pour ensuite sélectionner les preuves qui l’arrangent (le « cherry picking »), on ne résout jamais le problème.
Son constat de départ est déconcertant : les tours ne se sont pas effondrées au sens classique du terme, et elles n’ont pas brûlé jusqu’à la destruction. Elles se sont, selon ses propres termes, « poussiérisées ».
L’absence de débris et le mystère sismique
L’un des arguments majeurs avancés concerne le volume de débris retrouvés au sol. Chaque tour pesait environ 500 000 tonnes. Si ces bâtiments s’étaient écrasés au sol, on aurait dû retrouver un empilement massif de ruines, équivalent à une part significative de la hauteur initiale des tours.
- Le manque de matière : Les photos prises après l’événement montrent que le tas de débris est étonnamment bas. Le niveau du sol est rapidement atteint, et les secouristes ne gravissent pas une montagne d’acier.
- La « baignoire » intacte : Les tours ont été construites dans le fleuve Hudson, protégées par une digue (la « baignoire ») empêchant l’eau d’inonder le bas de Manhattan. Si un million de tonnes de débris avaient frappé le sol avec l’énergie cinétique d’un effondrement gravitationnel, cette digue aurait dû se rompre, inondant les tunnels du métro. Or, elle est restée intacte.
- Le silence sismique : Les enregistrements sismiques de l’événement montrent des magnitudes très faibles (autour de 2,3 pour les tours et 0,6 pour le bâtiment 7). Pour comparaison, la démolition contrôlée du Kingdome de Seattle a produit un signal comparable, alors qu’il s’agissait d’un bâtiment bien plus petit. L’impact au sol d’un million de tonnes aurait dû provoquer un signal bien plus puissant, ressenti comme un véritable tremblement de terre, ce qui n’a pas été le cas.
Le phénomène de « poussiérisation »
Judy Wood introduit un néologisme pour décrire ce que les images montrent réellement : la « poussiérisation » (dustification). Contrairement à un effondrement où des blocs solides tombent, les vidéos montrent les structures d’acier se désagréger littéralement en plein vol.
On observe des poutres d’acier qui, en tombant, laissent derrière elles une traînée de poussière opaque, semblable à une « banane qu’on épluche ». Cette poussière n’est pas le résultat d’un impact au sol, car elle se forme pendant la chute. De plus, cette poussière est si fine qu’elle ne retombe pas immédiatement, restant en suspension dans l’atmosphère et occultant la lumière du soleil.
« Le bâtiment s’est désintégré en seulement 10 secondes… Je n’ai pas vu un seul bureau, une seule chaise, un seul téléphone, rien. » — Témoignage d’un survivant
Les témoignages des survivants de l’escalier B, situés au cœur de la tour Nord, corroborent cette analyse. Alors qu’ils s’attendaient à être écrasés par 110 étages, ils se sont retrouvés à l’air libre, voyant le soleil, simplement entourés de poussière. Le bâtiment au-dessus d’eux avait disparu, non pas écrasé sur eux, mais volatilisé.
Les anomalies thermiques et les « voitures grillées »
Un autre aspect troublant relevé par Judy Wood concerne les incendies étranges observés autour du site. Elle évoque le phénomène des « voitures grillées » (toasted cars). Des centaines de véhicules, parfois situés à plusieurs rues du complexe, ont été retrouvés partiellement ou totalement brûlés, présentant des caractéristiques inexplicables par un incendie normal :
- Des poignées de portes disparues ou fondues, alors que la carrosserie adjacente est intacte.
- Des blocs moteurs en fusion, alors que du papier situé à proximité immédiate n’a pas brûlé.
- Des traces de brûlures circulaires ou des frontières nettes entre les zones brûlées et intactes, comme si la voiture avait été « peinte » par une énergie.
- Certaines voitures se sont enflammées spontanément bien après l’effondrement, lors des opérations de nettoyage.
Ces phénomènes rappellent l’effet Hutchison, du nom du chercheur John Hutchison, qui a réussi à reproduire en laboratoire des effets similaires (métaux qui se tordent sans chaleur, fusion à froid de matériaux dissemblables, lévitation d’objets) en utilisant des champs électromagnétiques et des ondes radio.
L’ouragan Erin et les champs magnétiques
Un fait souvent oublié de cette journée historique est la présence de l’ouragan Erin. Le matin du 11 septembre, cet ouragan de classe 3 se trouvait au large de New York. Curieusement, sa présence a été très peu médiatisée, contrairement à l’habitude des chaînes météo.
Judy Wood note une corrélation temporelle troublante : l’ouragan s’est arrêté et a fait demi-tour précisément le matin des attaques. De plus, les données des magnétomètres en Alaska ont enregistré des fluctuations importantes du champ magnétique terrestre, synchronisées avec les événements destructeurs des tours. Cette coïncidence suggère, selon elle, une interaction de type « effet de champ », où l’ouragan aurait pu jouer un rôle (source d’énergie ou condition nécessaire) dans le déploiement de la technologie utilisée.
Tritium et fusion froide : la signature énergétique
Enfin, l’analyse des poussières et de l’environnement a révélé des traces de tritium, un isotope radioactif de l’hydrogène, à des niveaux bien supérieurs à la normale (55 fois le bruit de fond). Cependant, contrairement à une explosion nucléaire classique, il n’y avait pas de rayonnements ionisants massifs causant des maladies aiguës immédiates.
Cette signature correspondrait aux résultats obtenus dans les expériences de fusion froide (ou réactions nucléaires à basse énergie – LENR). Cela renforce l’hypothèse de Judy Wood selon laquelle la destruction des tours n’a pas été causée par une chaleur intense (le papier n’a pas brûlé, les gens n’ont pas été « cuits »), mais par une perturbation au niveau moléculaire, capable de dissocier la matière.
En conclusion, pour Judy Wood, le 11 septembre a ouvert, de manière tragique, la boîte de Pandore d’une nouvelle technologie. Si cette force a été utilisée pour détruire, la compréhension de son mécanisme prouve l’existence d’une forme d’énergie libre, capable de transformer notre rapport à la physique et au monde.
Source : Jeanne traduction































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