Dans une interview explosive sur Redacted, Tucker Carlson n’a pas mâché ses mots en critiquant l’administration actuelle de la Maison-Blanche. Carlson, célèbre pour son analyse percutante et ses prises de position controversées, a évoqué des décisions qu’il considère comme moralement répréhensibles, stratégiquement insensées et révélatrices d’une influence qu’il qualifie de « sombre ».
Une administration sous l’emprise de forces obscures
Carlson a exprimé sa consternation face aux récentes actions de l’administration Biden, notamment l’autorisation de mines antipersonnel dans le conflit ukrainien. Selon lui, ces armes, qui mutilent et tuent principalement des civils, n’ont aucun objectif stratégique valable. « Le meurtre est l’objectif », affirme-t-il, ajoutant qu’il s’agit d’une action purement malveillante. Il n’hésite pas à aller plus loin, déclarant : « Satan est à la tête de cette Maison-Blanche. »
Pour lui, ces décisions ne sont pas seulement le fruit d’une politique étrangère irresponsable, mais le reflet d’un système corrompu qui sacrifie la morale au profit d’intérêts cachés.
Une critique des institutions et de leur opacité
Carlson s’est longuement penché sur le manque de transparence des institutions américaines, dénonçant leur recours systématique au secret pour contrôler et manipuler. Il a cité des exemples emblématiques, comme les dossiers toujours classifiés sur les attentats du 11 septembre ou les phénomènes aérospatiaux non identifiés (UAP). Il appelle à une déclassification totale, estimant que la rétention d’informations est utilisée comme un outil de coercition contre le public.
L’exemple de Matt Gaetz, accusé de crimes graves mais jamais inculpé, illustre selon lui les abus de pouvoir des agences gouvernementales. Il considère que ces accusations sans fondement détruisent des vies et que ceux qui en sont responsables doivent rendre des comptes.
La guerre en Ukraine : un conflit inutile et destructeur
La critique de Carlson envers la guerre en Ukraine est particulièrement acerbe. Il qualifie ce conflit de « débâcle », soulignant qu’il a dévasté l’Ukraine sans atteindre les objectifs affichés, comme l’affaiblissement de la Russie. Il dénonce l’utilisation de missiles longue portée et de mines antipersonnel, des décisions qui, selon lui, visent uniquement à intensifier la souffrance humaine.
Il pointe également du doigt la complicité des puissances occidentales, notamment le Royaume-Uni et la France, qu’il accuse d’alimenter une spirale de violence. Pour Carlson, le comportement de ces nations reflète le déclin d’un empire, un phénomène souvent accompagné de chaos et de destruction.
« C’est comme si une civilisation mourante se lançait dans une sorte de suicide collectif, entraînant d’autres peuples dans sa chute », analyse-t-il, comparant la situation actuelle à des épisodes historiques tels que la partition de l’Inde par l’Empire britannique.
UAP et technologies cachées : un secret trop lourd pour être révélé ?
Un autre sujet abordé par Carlson est celui des UAP et des technologies avancées que le gouvernement américain garderait secrètes. Il exprime son scepticisme quant à une éventuelle divulgation publique, soulignant l’existence d’efforts massifs pour empêcher toute transparence sur le sujet.
Selon Carlson, ces technologies, qui incluraient des moyens de déplacement instantané et d’énergie de point zéro, pourraient bouleverser les fondements mêmes de la société. Il évoque également une dimension spirituelle, suggérant que certains de ces phénomènes pourraient relever d’interactions avec d’autres dimensions. « Il ne s’agit pas seulement de science, mais d’une catégorie totalement différente, plus proche d’une expérience spirituelle que d’une expédition scientifique. », précise-t-il.
Le journalisme indépendant : un espoir face à la corruption
Carlson consacre une partie importante de son discours à dénoncer la corruption des médias traditionnels. Il les accuse d’avoir trahi leur rôle en servant des intérêts partisans et économiques, contribuant ainsi à leur propre perte de crédibilité.
Cependant, il loue les médias indépendants et les figures comme Joe Rogan, qui ont ouvert la voie à une nouvelle ère de liberté d’expression. Carlson met toutefois en garde contre le danger de la corruption dans ces nouvelles plateformes, notamment l’acceptation secrète de financements en échange de promotions politiques. « La pureté d’intention est détectable », insiste-t-il, appelant les journalistes indépendants à rester transparents et honnêtes.
Une réflexion sur la violence et les valeurs fondamentales
Carlson termine par une réflexion plus large sur la société américaine, critiquant la banalisation de la violence. « La violence est mauvaise, point », déclare-t-il, s’indignant du peu de discussions sur ce sujet fondamental. Il rappelle que, selon les principes chrétiens qu’il évoque, l’usage de la violence est strictement limité à la légitime défense.
Il critique également la manière dont des concepts comme le féminisme ont été utilisés pour justifier des décisions qu’il juge destructrices, comme l’envoi de femmes au combat. Pour lui, le rôle des hommes est de protéger, et non de demander aux femmes de porter le poids des guerres.
Une vision sombre mais appelant à la vérité
Cette discussion reflète une vision sombre de l’état actuel du monde, marquée par la corruption, la violence et une absence de valeurs morales. Mais Carlson appelle aussi à une prise de conscience collective. Il invite les citoyens à exiger la transparence, à remettre en question les récits dominants et à défendre des principes fondamentaux comme la vérité, la justice et la responsabilité.
Source : Redacted