La vidéo « BARABAR, LE SITE ARCHÉOLOGIQUE DU FUTUR » présente l’exploration approfondie du mystère entourant les chambres sculptées de Barabar et Nagarjuni en Inde, qui, selon les études, dépassent de loin les capacités technologiques supposées de l’époque.
Une découverte impressionnante
Il y a environ 2300 ans, cinq chambres uniques ont été taillées dans des roches massives de granite en Inde. D’après certaines inscriptions, elles auraient été offertes par un roi pour servir d’abris contre la pluie à une secte de mendiants.
Cependant, des études récentes de scans 3D et de relevés sonores ont révélé que ces chambres présentent une précision géométrique, mathématique et technique comparable à nos méthodes industrielles modernes. Leur conception suggère des connaissances mathématiques et acoustiques avancées.
Les mystères des chambres sculptées
Les chambres, situées sur les sites archéologiques de Barabar et Nagarjuni, sont connues pour leurs surfaces lisses et planes, leur symétrie parfaite et leur acoustique impressionnante. Des scans 3D ont révélé des formes géométriques complexes, proportionnelles et symétriques, difficilement réalisables avec les techniques artisanales connues de l’époque.
Les relevés acoustiques ont montré que certaines chambres génèrent des résonances spécifiques et des temps de réverbération exceptionnels, ce qui pourrait suggérer une utilisation dédiée aux fréquences sonores, bien au-delà d’un simple abri contre la pluie.
Une analyse technique inédite
Les équipes de chercheurs, composées de géologues, tailleurs de pierre et experts en acoustique, ont utilisé des instruments modernes pour analyser les chambres de Barabar. Ils ont notamment utilisé un rugosimètre pour mesurer la rugosité des surfaces. Les mesures ont démontré que les parois étaient presque aussi lisses que du verre, une prouesse notable compte tenu du matériau et de la technologie supposée de l’époque.
Les scans 3D ont permis de révéler la symétrie longitudinale et transversale des chambres, ainsi que des angles et des formes précises au millimètre près. Cette précision a été confirmée être bien au-delà de ce que l’on pourrait attendre d’un travail manuel de l’époque.
Le mystère des constructions
Les tailleurs de pierre interrogés ont confirmé que la réalisation de telles chambres avec une telle précision est presque inimaginable, même avec des outils modernes. La notion de symétrie observée sur ces constructions impose une rigueur et une maîtrise géométrique extrême. Les chambres de Barabar et Nagarjuni affichent des proportions et des volumes en nombres entiers, ce qui suggère une planification mathématique très avancée.
Les grandes parois légèrement inclinées et les voûtes cylindriques ont également interpellé : les artisans ont manifestement travaillé avec une connaissance approfondie de la géométrie des solides et des propriétés acoustiques des matériaux.
Les inscriptions contestées
Les chambres comportent des inscriptions ayant trait à des donations royales, mais ces inscriptions sont contestées par certains chercheurs qui estiment qu’elles pourraient avoir été ajoutées bien après la réalisation des chambres. L’absence de descriptions précises de la construction ou de la fonction des chambres dans les archives disponibles laisse place à des spéculations.
L’extraordinaire acoustique des chambres
Les études acoustiques ont montré que les chambres possèdent des propriétés réverbérantes exceptionnelles, avec des temps de réverbération atteignant jusqu’à 70 secondes. Ces propriétés font des chambres de Barabar et Nagarjuni de véritables casse-têtes pour le savoir moderne en acoustique.
Les analyses ont révélé que les chambres jouent avec les fréquences sonores de façon intentionnelle, amplifiant certaines fréquences spécifiques, ce qui pourrait expliquer en partie leur conception complexe.
Une exploration mystérieuse de notre passé
Les chercheurs estiment qu’il est peu probable que ces chambres aient été construites uniquement pour servir de simples abris contre la pluie. La précision et la complexité de leur construction suggèrent une finalité beaucoup plus sophistiquée. Par ailleurs, l’étude des volumes et des proportions montre qu’une grande réflexion mathématique a été menée en amont, soulignant une connaissance inégalée pour l’époque.
La possibilité que ces chambres soient des objets scientifiques dédiés à l’étude ou à l’exploitation des fréquences sonores n’est pas exclue, posant une réflexion sur l’usage des résonances acoustiques dans des pratiques qu’on ne comprend pas encore totalement.
La quête pour comprendre
L’étude exhaustive des sites de Barabar et Nagarjuni résonne avec une question clef sur notre histoire humaine : combien de savoir et de technologies avons-nous oubliés ? Ces sites énigmatiques semblent témoigner d’une époque où les connaissances scientifiques et techniques étaient bien plus avancées que ce que nous pensions jusqu’alors.
Ils nous incitent à repenser notre passé sous un angle différent, à envisager que les civilisations anciennes pouvaient accomplir des merveilles techniques. Une énigme que l’humanité moderne se doit de résoudre pour mieux comprendre l’étendue et la profondeur de l’histoire humaine.
Liens :
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