La Lune n’a jamais cessé de fasciner, et pour beaucoup, elle pourrait encore cacher bien plus que ce que la NASA a révélé. Entre récits captivants et découvertes troublantes, la Lune se trouve au cœur de théories surprenantes. Certains pensent que l’alunissage d’Apollo 11 aurait été orchestré par Stanley Kubrick, tandis que d’autres évoquent l’existence de bases extraterrestres sur sa face cachée. Il existe même des théories suggérant que la Lune pourrait jouer un rôle dans un sinistre cycle de « récolte des âmes » orchestré par des entités extraterrestres. Dans cet article, nous plongeons dans ces histoires fascinantes qui continuent d’alimenter l’imaginaire autour de cet astre mystérieux.
La lune est creuse
L’idée que la Lune pourrait être creuse repose sur des observations faites lors des missions Apollo. Plusieurs anomalies, notamment des résonances sismiques inattendues, une faible densité et une structure étrange des cratères, ont conduit certains chercheurs à envisager que la Lune n’est peut-être pas un corps céleste solide comme on l’a longtemps supposé.
Résonances sismiques inattendues
L’une des découvertes les plus troublantes a été faite lors de la mission Apollo 12. Après le retour de l’équipage au module de commande, l’atterrisseur lunaire a été intentionnellement libéré pour s’écraser sur la surface de la Lune. Suite à cet impact, les instruments sismiques installés par les astronautes ont enregistré un phénomène étrange : la Lune a résonné comme une cloche pendant plus d’une heure. Cette résonance inhabituelle a surpris les scientifiques, car une telle réverbération prolongée n’aurait jamais été observée sur Terre dans des conditions similaires.
Lors de la mission Apollo 13, une expérience similaire a été répétée avec un objet encore plus lourd. Cette fois, la Lune a résonné pendant plus de trois heures, et les vibrations se sont propagées jusqu’à une profondeur de 20 miles (environ 32 kilomètres) sous la surface. Ce type de phénomène est totalement inédit sur Terre, où les réverbérations s’atténuent rapidement en raison de la densité de la planète. Cependant, sur la Lune, les vibrations ont non seulement duré plus longtemps, mais elles se sont également accélérées à environ 40 miles (environ 64 kilomètres) de profondeur, ce qui a conduit les chercheurs à penser que l’intérieur de la Lune pourrait être beaucoup moins dense, voire creux, avec de vastes cavités internes.
Densité étonnamment faible
En plus de ces résonances sismiques troublantes, la densité globale de la Lune pose également problème. Bien que la Lune fasse environ 25 % de la taille de la Terre, elle ne représente qu’environ 1 % de la densité de la planète. Cette faible densité est difficile à expliquer si la Lune est un corps massif et solide, comme les autres objets célestes de notre système solaire. Si l’intérieur de la Lune était creux, cela pourrait expliquer ce décalage important de densité. La possibilité que la Lune soit une coquille creuse permettrait de résoudre cette anomalie, bien que cette idée soit encore largement débattue dans les cercles scientifiques.
Cratères à profondeur uniforme
Les cratères lunaires présentent également des caractéristiques inhabituelles. Sur Terre, les impacts de météorites plus puissants produisent des cratères plus profonds. Cependant, sur la Lune, les cratères semblent avoir une profondeur uniforme, quelle que soit leur largeur. Ce phénomène est particulièrement étrange, car les cratères de plus grande taille devraient logiquement pénétrer plus profondément sous la surface.
Certains théoriciens avancent que cette profondeur uniforme pourrait être due à la présence d’une coque métallique résistante sous la surface de la Lune. Cette structure hypothétique empêcherait les objets de pénétrer au-delà d’une certaine profondeur. Si la Lune était effectivement une structure creuse renforcée par une coque interne, cela expliquerait pourquoi les cratères ne varient pas en profondeur, peu importe la taille de l’impact.
Hypothèse d’une structure artificielle
Face à ces anomalies, certains chercheurs et théoriciens vont encore plus loin, en suggérant que la Lune pourrait être une structure artificielle creuse. L’idée a été proposée en 1970 par deux scientifiques soviétiques, Vasin et Shcherbakov, qui ont avancé que la Lune pourrait être un vaisseau spatial, conçu et amené dans l’orbite terrestre par une civilisation extraterrestre. Cette théorie, bien que controversée, tente de répondre à certaines des énigmes non résolues liées à la structure interne de la Lune, à sa densité et à la configuration de ses cratères.
Selon cette hypothèse, la Lune pourrait contenir des cavités creuses et des structures internes artificielles qui serviraient à renforcer sa coque externe. Cela expliquerait pourquoi les cratères ne sont pas aussi profonds qu’on s’y attendrait et pourquoi la Lune résonne de manière si inhabituelle après un impact.
Apollo 20 et la découverte du vaisseau
L’histoire de la mission Apollo 20 est entourée de mystère et fait partie des récits les plus intrigants autour des missions lunaires. Officiellement, les missions Apollo 18, 19 et 20 ont été annulées par la NASA, principalement en raison de coupes budgétaires et d’un manque d’intérêt du public. Cependant, selon certaines sources, ces missions auraient bel et bien eu lieu, mais sous couvert d’un programme top secret. En 2007, un prétendu astronaute à la retraite, William Rutledge, a publié une série de vidéos sur YouTube affirmant qu’il avait commandé la mission Apollo 20 en 1976. Le but de cette mission, selon lui, était d’explorer un immense vaisseau spatial extraterrestre repéré sur la Lune lors de la mission Apollo 15.
Une mission conjointe américano-soviétique
Selon les affirmations de Rutledge, la mission Apollo 20 était le fruit d’une collaboration secrète entre les États-Unis et l’Union soviétique. Tout aurait commencé en 1971, lorsque la mission Apollo 15 a pris une photographie intrigante de la surface de la Lune. L’image, désignée sous le nom officiel « Apollo Image AS15-P-9630 », montrait un objet d’environ 3,5 kilomètres de long, ressemblant à un vaisseau spatial qui semblait s’être écrasé sur la Lune des milliards d’années auparavant. Ne disposant pas de la technologie nécessaire pour explorer cet objet, les Soviétiques auraient proposé une mission conjointe avec les Américains, combinant les efforts des deux superpuissances pour enquêter sur cette découverte extraordinaire.
Le 16 août 1976, une fusée Saturn V aurait été lancée secrètement en pleine nuit. À bord se trouvaient William Rutledge, le cosmonaute soviétique Alexeï Leonov et l’astronaute américaine Leona Snyder. Leur mission principale était d’atterrir près du gigantesque vaisseau extraterrestre pour en explorer les entrailles et découvrir ses secrets.
Découverte du vaisseau extraterrestre
Une fois sur place, l’équipage a été frappé par la taille colossale du vaisseau, partiellement enseveli sous une épaisse couche de poussière lunaire. La coque extérieure portait les marques de nombreux impacts de météorites, suggérant que l’engin se trouvait là depuis plus d’un milliard d’années. En pénétrant à l’intérieur, les astronautes ont découvert des murs étonnamment lisses et une atmosphère pesante, renforcée par la sensation d’entrer dans une structure d’une technologie bien supérieure à celle de l’humanité.
Parmi les découvertes les plus remarquables figurait celle d’un corps humanoïde féminin, que l’équipage a surnommé « Monalisa ». Mesurant environ 1,65 mètre, cette entité possédait six doigts à chaque main et semblait recouverte d’une sorte de substance cireuse. Des dispositifs étaient fixés à ses paupières, ses joues et sa bouche, suggérant qu’elle se trouvait dans un état d’animation suspendue, ni complètement morte, ni vivante. Malgré l’état de conservation du corps, aucun signe clair d’activité vitale n’a été détecté, laissant l’équipage perplexe quant à sa nature et son origine.
Le sombre secret de la Lune : la récolte des âmes
Parmi les théories les plus troublantes sur la Lune, celle qui évoque une manipulation extraterrestre autour de la réincarnation humaine se distingue par son caractère sombre et inquiétant. Certains théoriciens avancent que la Lune jouerait un rôle central dans un processus de « récolte des âmes », un concept basé sur l’idée que nos âmes sont capturées et recyclées après la mort, piégées dans un cycle de réincarnation orchestré par des entités extraterrestres.
Les émotions humaines comme source d’énergie
Selon cette théorie, les créateurs extraterrestres auraient découvert que les émotions humaines génèrent une forme d’énergie, une énergie qu’ils peuvent consommer pour se nourrir. Cependant, ce sont les émotions négatives – la douleur, la haine, la colère – qui seraient les plus « nourrissantes » pour ces entités. Cette forme de dépendance aux émotions humaines négatives serait décrite comme une sorte de drogue dont les extraterrestres ne peuvent se passer.
L’objectif de ces créateurs serait donc de maintenir l’humanité dans un cycle de réincarnation forcée, où chaque vie serait marquée par des souffrances et des émotions négatives, servant ainsi de « nourriture » pour ces entités. Si les humains parvenaient à comprendre la véritable nature de cette manipulation, ils réaliseraient que leur énergie spirituelle, ou âme, pourrait évoluer vers un plan d’existence supérieur après la mort. Cependant, les extraterrestres veilleraient à ce que cela n’arrive jamais, maintenant l’humanité piégée dans ce cycle de réincarnation perpétuelle.
Le cube de l’âme sur la lune
Un élément central de cette théorie est l’existence d’une machine appelée « Soul Cube » ou « attrape-âme », qui serait installée sur la Lune. Ce cube serait un dispositif extraterrestre chargé de capturer les âmes des humains après leur mort et de les renvoyer sur Terre, réinitialisant ainsi leur cycle de réincarnation. Le cube surveillerait constamment la Terre, transmettant l’énergie des âmes et assurant leur retour dans de nouveaux corps, génération après génération.
Certains chercheurs affirment que ce processus est en place depuis des milliers d’années. En décembre 2021, une sonde lunaire aurait, par accident, pris une photographie de ce fameux « Soul Cube ». Bien que la théorie semble appartenir à la science-fiction, elle a converti de nombreux sceptiques en croyants.
John Lear et l’attrape-âme
L’un des principaux partisans de cette théorie est John Lear, ancien pilote sous contrat pour la CIA et fils de l’inventeur des avions Learjet. Lear est connu pour ses théories sur la présence extraterrestre sur Terre, mais il est également celui qui a exposé le concept de l’attrape-âme en forme de cube sur la Lune. Il pense que ce cube est un appareil utilisé pour capturer les âmes des humains après leur mort, les empêchant de quitter le cycle de la réincarnation.
Lear désigne également une structure sur la Lune, une tour de six miles de haut située au centre du Sinus Medii, comme étant potentiellement l’attrape-âme. Il s’appuie sur des photographies prises par un orbiteur lunaire, où une immense tour serait visible. Selon Lear, cette tour servirait à capturer les âmes humaines, un concept qui rejoint la théorie d’un cycle de réincarnation perpétuel contrôlé par des entités extraterrestres.
Réincarnation et manipulation extraterrestre
La théorie de la récolte des âmes va plus loin en associant ce processus à un contrôle extraterrestre des émotions humaines. Selon les partisans de cette théorie, les extraterrestres s’assureraient que l’humanité reste en proie à des émotions négatives, telles que la guerre, la violence ou la haine, car ces états émotionnels seraient la nourriture dont ils ont besoin pour survivre.
Pour renforcer cette idée, certains théoriciens soulignent que des événements majeurs tels que des guerres ou des pandémies, qui touchent des millions de personnes, pourraient être orchestrés par ces extraterrestres pour provoquer un afflux massif d’émotions négatives, répondant ainsi à leurs besoins énergétiques.
Les bases extraterrestres sur la Lune : Ingo Swann
L’histoire d’Ingo Swann, médium et visualisateur à distance, est l’une des plus fascinantes concernant les théories extraterrestres sur la Lune. Swann, qui a travaillé pour la CIA dans le cadre du projet Stargate, a acquis une réputation solide pour ses capacités de visualisation à distance, c’est-à-dire la faculté de percevoir des lieux éloignés ou inaccessibles sans y être physiquement présent. Cependant, l’un de ses projets les plus étonnants a impliqué la Lune, où Swann affirme avoir découvert des bases extraterrestres sur la face cachée de notre satellite.
La mission de visualisation à distance de la CIA
Dans les années 1970, Ingo Swann fut recruté par la CIA pour participer à un programme de visualisation à distance visant à explorer le système solaire. Dans ce cadre, il lui fut demandé de projeter sa conscience vers la Lune afin d’y observer des activités extraterrestres potentielles. L’objectif principal de cette mission secrète était de confirmer la présence d’entités non humaines qui, selon certaines sources, seraient en train de construire des bases sur la face cachée de la Lune.
Swann, dans son livre Penetration publié en 1998, décrit cette expérience comme l’une des plus troublantes de sa carrière. Selon lui, en 1973, on lui demanda de se concentrer sur la Lune et de décrire tout ce qu’il voyait. Ce qu’il observa défiait toute logique terrestre : des structures gigantesques, semblables à des hangars et des tours, ainsi que des routes et des équipements ressemblant à des machines industrielles. Il mentionna également des lumières mystérieuses, visibles sur la surface lunaire, qui, selon lui, ne pouvaient pas être naturelles car la Lune n’a pas d’atmosphère capable de diffuser la lumière.
Des êtres humanoïdes sur la lune
Au fur et à mesure qu’Ingo Swann poursuivait ses observations, il fut de plus en plus convaincu qu’il ne regardait pas des installations humaines. Il rapporta avoir vu des êtres humanoïdes à l’intérieur de ces structures. Ces créatures, qui semblaient presque humaines, paraissaient très occupées à travailler autour de ces installations mystérieuses. Ce qui rendit Swann particulièrement mal à l’aise, c’est le moment où il réalisa que ces êtres avaient pris conscience de sa présence à distance. Selon lui, ils se sont arrêtés dans leurs activités et se sont tournés vers lui, ce qui le poussa à interrompre brusquement son expérience.
L’inquiétude de la CIA et les implications
Les observations de Swann sur la Lune ont suscité beaucoup d’inquiétude au sein de la CIA, car elles suggéraient non seulement que des entités extraterrestres étaient présentes, mais qu’elles étaient également conscientes de nos tentatives d’observation à distance. Le fait que Swann ait senti que sa présence était perçue par ces entités a renforcé l’idée que ces extraterrestres pourraient posséder des capacités supérieures à celles de l’humanité, non seulement en termes de technologie mais aussi en ce qui concerne leur conscience perceptive.
Bien que certains sceptiques remettent en question la validité de ces observations, affirmant qu’il s’agit d’une illusion ou d’une simple fiction, d’autres voient dans le témoignage de Swann une preuve crédible que la Lune pourrait abriter des bases extraterrestres et des installations avancées. En 2006, la déclassification de certains documents de la CIA a confirmé la participation de Swann au programme Stargate, renforçant ainsi la crédibilité de ses affirmations.
L’alunissage orchestré par Kubrick
L’une des théories du complot les plus célèbres sur la Lune est celle affirmant que l’alunissage d’Apollo 11 en 1969 aurait été une mise en scène orchestrée par la NASA, avec l’aide du célèbre réalisateur Stanley Kubrick. Cette théorie repose sur l’idée que la NASA, incapable d’envoyer des hommes sur la Lune en raison de contraintes techniques, aurait demandé à Kubrick de simuler l’alunissage pour préserver la suprématie des États-Unis dans la course à l’espace.
Les liens entre Kubrick et la NASA
Selon cette théorie, la NASA aurait remarqué les effets spéciaux révolutionnaires de Kubrick dans son film 2001, l’Odyssée de l’espace (1968), ce qui aurait conduit l’agence spatiale à le solliciter pour simuler l’alunissage d’Apollo 11. Kubrick aurait ainsi utilisé des techniques visuelles perfectionnées, notamment la projection sur écran frontal, pour rendre l’illusion d’un véritable atterrissage sur la Lune. Cette technologie, qui permettait aux acteurs de se tenir devant un écran de projection sans que l’image projetée ne soit visible sur eux, aurait été suffisamment convaincante pour tromper le public mondial.
La théorie avance que Kubrick aurait utilisé un objectif spécial fabriqué par la société allemande Zeiss pour la NASA, spécifiquement conçu pour les conditions de faible luminosité, afin de capturer les images d’un alunissage simulé en studio. Le cinéaste aurait eu accès à des experts de la NASA pour rendre les images encore plus crédibles.
Les indices cachés dans The Shining
Certains partisans de cette théorie vont encore plus loin en affirmant que Kubrick aurait laissé des indices dans son film The Shining (1980), comme une sorte de confession voilée de son implication dans la simulation de l’alunissage. Ils pointent notamment des éléments visuels dans le film, comme le pull que porte le jeune Danny Torrance, décoré d’une fusée avec les mots « Apollo 11 ». Ils voient également des symboles dans le motif de la moquette de l’hôtel Overlook, qui évoqueraient les rampes de lancement de Cap Canaveral.
Un autre détail intrigant pour les théoriciens est la chambre 237 dans laquelle Danny entre dans une scène du film. Dans le livre de Stephen King, la chambre est la 217, mais Kubrick l’a changée en 237. Certains y voient une référence à la distance moyenne entre la Terre et la Lune, soit environ 237 000 miles. Enfin, la scène où Jack Torrance tape inlassablement la même phrase « All work and no play makes Jack a dull boy » est également interprétée comme un indice caché. Le mot « All » serait, selon ces théoriciens, une abréviation de « A11 », faisant référence à Apollo 11.
Le supposé aveu de Kubrick
Selon les partisans de cette théorie, un entretien filmé avec Kubrick aurait été découvert en 2016, dans lequel le réalisateur aurait enfin avoué avoir dirigé la mise en scène de l’alunissage. Kubrick aurait signé un accord de non-divulgation de 88 pages pour garantir que cette interview ne serait pas rendue publique avant 15 ans. Cependant, malgré ces affirmations, il n’existe aucune preuve concrète ou vérifiable que Kubrick ait fait un tel aveu.
Source : The Why Files