L’idée que des civilisations anciennes aient possédé des technologies avancées, bien avant l’émergence des connaissances modernes, intrigue les chercheurs et passionne le grand public. Cet article explore cette hypothèse fascinante en se basant sur des découvertes archéologiques, des monuments imposants et des théories scientifiques. Suggérant qu’une civilisation bien plus ancienne que ce que l’histoire officielle nous enseigne aurait existé, il propose une réflexion sur l’origine de structures comme les pyramides, leur mode de construction et les technologies impliquées. Ce voyage dans le passé remet en question notre compréhension de l’histoire humaine.
La structure de l’univers et le vide créateur
Les découvertes récentes sur la structure de l’univers jouent un rôle central dans cette hypothèse. L’univers génère toute matière, des plus petites particules jusqu’aux galaxies, grâce à la rotation de la structure du vide. Ce phénomène est responsable de la création des planètes, dont certaines sont susceptibles d’accueillir la vie. Si certaines formes de vie extraterrestres existent depuis des millions d’années, elles pourraient avoir développé des technologies très avancées, capables de manipuler la structure même de l’espace-temps pour voyager à travers l’univers, voire d’interagir avec notre planète.
Le contact avec une civilisation pré-cataclysmique
Il y a environ 10 000 à 12 000 ans, avant un cataclysme mondial, l’humanité aurait été en contact avec une civilisation extrêmement avancée. Cet événement, appelé « ère pré-cataclysmique », précéderait le fameux déluge décrit par plus de 300 cultures différentes à travers le monde. Ce déluge, causé par la fonte de la dernière ère glaciaire, aurait provoqué l’effondrement de cette civilisation, laquelle était apparemment capable de voyager à travers le système solaire et même d’interagir avec des êtres extraterrestres.
Les légendes anciennes mentionnent des « dieux du soleil » venus des étoiles, dotés d’un savoir impressionnant, qui auraient transmis aux humains des connaissances en mathématiques, en écriture et en construction.
Les pyramides et structures monumentales : des preuves de technologie avancée ?
L’une des preuves les plus frappantes de l’existence d’une civilisation avancée est la présence de pyramides et de monuments colossaux dans des régions du monde aussi diverses que l’Égypte, le Mexique, la Chine et même sous l’eau au Japon. Ces structures pyramidales partagent des caractéristiques architecturales similaires, bien que les cultures qui les ont bâties semblent n’avoir eu aucun contact. Aujourd’hui, grâce à des technologies comme le Lidar, des milliers de pyramides jusque-là inconnues ont été découvertes dans des régions telles que le Guatemala et le Mexique, suggérant une densité de population très importante à cette époque.
Une observation remarquable est que ces civilisations n’ont jamais revendiqué la construction de ces structures. En Égypte, par exemple, aucun hiéroglyphe ne décrit la construction des pyramides. Les anciens Égyptiens affirmaient que ces monuments avaient été édifiés par les « dieux du soleil », des entités venues d’ailleurs, qui leur auraient également appris à calculer et à écrire.
Des prouesses architecturales dépassant nos capacités modernes
Les monuments mégalithiques disséminés dans le monde, notamment en Égypte, au Pérou et en Turquie, soulèvent de nombreuses interrogations. Comment ces blocs de pierre géants, certains pesant plus de 1000 tonnes, ont-ils pu être déplacés sur de grandes distances, à travers des montagnes et des vallées, avec une telle précision ? Par exemple, au temple de Kephren en Égypte, des blocs de granite pesant plus de 200 tonnes ont été transportés sur des centaines de kilomètres. Ces réalisations surpassent nos capacités modernes en termes de précision et de technique de transport.
En Égypte, des statues de Ramsès II pesant plus de 1000 tonnes, retrouvées loin de leur site d’origine, illustrent encore plus ces prouesses. De telles structures, parfois datées de plusieurs dizaines de milliers d’années, pourraient remettre en cause la chronologie de l’histoire humaine telle qu’on la connaît.
L’évolution humaine et la manipulation génétique
Outre les prouesses architecturales, la théorie selon laquelle l’évolution humaine a été influencée par des interventions extérieures est aussi discutée. Des changements soudains dans la taille du cerveau et d’autres caractéristiques morphologiques ne semblent pas suivre un schéma d’évolution naturelle linéaire. Par exemple, la cavité crânienne de l’Homo Sapiens a doublé en taille par rapport à celle de l’homme de Néandertal, ce qui pourrait être le résultat d’une manipulation génétique plutôt que d’une adaptation progressive à l’environnement.
Des recherches effectuées sur des momies découvertes à Paracas, au Pérou, ont révélé des anomalies dans l’ADN mitochondrial et nucléaire. L’ADN maternel semblait provenir de la région de la mer Noire, tandis que l’ADN paternel présentait une faible correspondance avec le génome humain, avec un taux de similarité de seulement 3 à 5 %, ce qui est très éloigné des 40 % de correspondance que l’on observe entre les humains et des organismes comme les bananes. Cette découverte suggère une possible hybridation avec des êtres extraterrestres.
La technologie des pyramides et leur fonction énergétique
Les pyramides, telles que celles de Gizeh, Théotihuacan ou Chichen Itza, ne seraient pas simplement des monuments funéraires, mais pourraient avoir été conçues pour capter et concentrer l’énergie électromagnétique. Leur forme pyramidale permet de focaliser cette énergie à leur sommet. Ces structures semblent également reliées à la résonance de l’espace-temps, rappelant une connexion tétraédrique qui crée des cavités octaédriques, similaires à des pyramides.
À Saqqarah, des cavités souterraines ressemblant à des circuits électroniques pourraient représenter une forme ancienne de transmission d’énergie. L’eau, circulant à travers ces structures, aurait pu servir de conducteur pour cette énergie. Cette technologie, perdue aujourd’hui, pourrait avoir permis de transmettre l’énergie sur de longues distances, en utilisant des cavités de résonance et des sources d’eau, plutôt que les câbles et poteaux que nous utilisons actuellement.
L’effacement d’une civilisation avancée
Si une civilisation avancée a existé dans le passé, pourquoi n’en reste-t-il que peu de traces tangibles aujourd’hui ? Un cataclysme, tel que la fonte de la dernière ère glaciaire, aurait pu détruire la majorité des preuves de cette civilisation. Les inondations massives causées par cette fonte, et les impacts de météorites, auraient submergé une grande partie de la planète sous des mètres d’eau, effaçant presque totalement les signes de cette ancienne technologie.
Cependant, les monuments mégalithiques et les légendes partagées par de nombreuses cultures à travers le monde suggèrent que des fragments de cette civilisation perdue sont encore présents. Aujourd’hui, nous commençons à redécouvrir ces traces.
La redécouverte d’une civilisation oubliée
Ces découvertes nous invitent à repenser l’histoire de l’humanité et à envisager la possibilité qu’une civilisation technologiquement avancée ait existé bien avant la nôtre. La présence de structures similaires dans différentes parties du monde, les anomalies génétiques dans l’évolution humaine, et la capacité de ces anciens peuples à déplacer des blocs de pierre colossaux, tout cela suggère une connaissance avancée dont nous n’avons toujours pas percé tous les secrets.
Cette redécouverte pourrait avoir des implications importantes pour notre avenir, en nous aidant à comprendre non seulement notre passé, mais aussi notre place dans une communauté galactique plus vaste.
Source : La vérité est ailleurs