Imaginez un instant que les capacités psychiques ne relèvent pas de la science-fiction, mais constituent de véritables outils d’espionnage utilisés par les plus grandes agences de renseignement du monde. Jean-Pierre Girard incarne cette réalité troublante : médium, télépathe et psychokinésiste, il a été recruté par la CIA, infiltré auprès du KGB et sollicité par la défense française. Son témoignage lève le voile sur un univers où l’esprit humain devient une arme stratégique.
La psychokinèse : quand l’esprit déforme la matière
Jean-Pierre Girard possède une capacité hors du commun : modifier la matière par la seule force de son esprit. Lors d’expériences scientifiques rigoureuses, il a réussi à tordre des barres métalliques d’alliages astronautiques nécessitant normalement plus d’une tonne de pression. Ces démonstrations n’ont pas eu lieu dans des arrière-salles de café, mais dans des laboratoires d’État français, sous contrôle scientifique strict.
Un métallurgiste de Grenoble témoigne avoir créé un barreau spécial, testé auprès d’un haltérophile de 140 kg qui ne parvenait pas à le déformer. Pourtant, Jean-Pierre Girard l’a courbé à quatre reprises par simple imposition de la main, à environ dix centimètres de distance. Plus troublant encore, il a créé des modifications structurelles dans des métaux enfermés sous tubes de verre scellés, induisant des durcissements ou des adoucissements impossibles à reproduire par les métallurgistes eux-mêmes.
Ces travaux ont été déposés à l’Académie des Sciences et publiés dans des revues scientifiques à comité de lecture comme La Recherche. Tous les laboratoires qui l’ont invité à expérimenter ont publié des attestations confirmant les phénomènes observés.
L’état mental du possible
Comment expliquer de telles capacités ? Selon Jean-Pierre Girard, l’ingrédient essentiel n’est pas la volonté forcée, mais un état de détente profonde et d’évidence. Il anime des stages depuis une vingtaine d’années où il transmet cet état mental particulier, caractérisé par l’absence d’obligation et le droit à l’échec. Cette liberté psychique permet de libérer la conscience.
Dans ces stages, environ 60 % des participants parviennent à réaliser des phénomènes de télékinésie : déplacer des objets sous bocal étanche, courber des barres métalliques. Des enfants de six ans comme des adultes réussissent ces expériences, démontrant que ces capacités ne sont pas réservées à une élite mystique.
L’état recherché dépasse la simple croyance pour atteindre l’évidence. Comme il l’explique : ce n’est pas croire au phénomène, c’est être dans l’évidence du phénomène. Cette certitude intérieure, semblable à celle qui anime les personnes ayant vécu des guérisons miraculeuses à Lourdes, constitue la clé d’accès à ces facultés latentes.
Kidnappé par la CIA à Mexico
En novembre 1977, Jean-Pierre Girard est invité à un congrès de parapsychologie à Mexico. Après une démonstration télévisée spectaculaire où il déplace des objets dans un aquarium, provoquant sa chute, il devient une célébrité locale. La vice-présidente du Mexique l’invite même au palais présidentiel.
Lors d’une journée de repos, alors qu’il se repose à son hôtel, une Lincoln Continental aux portes suicide s’arrête devant lui. Trois hommes l’embarquent de force, lui posent une cagoule sur la tête et l’emmènent dans une maison sécurisée. Il vient d’être kidnappé par la CIA.
Le responsable de l’opération lui explique qu’ils le surveillent depuis plus de deux ans et disposent d’informations détaillées sur sa vie privée. Ils ont même capté par satellite toutes ses expériences scientifiques importantes. Durant une heure et demie, le temps de mobilisation d’un satellite géostationnaire, ils lui font passer une série de tests.
L’expérience la plus troublante consiste à modifier les choix d’un sujet canadien situé à plusieurs milliers de kilomètres. Sur une table, divers objets sont disposés. Jean-Pierre Girard influence télépathiquement le sujet pour qu’il choisisse les objets qu’il a préalablement désignés. Le taux de réussite atteint 80 %, démontrant sa capacité à modifier la volonté d’une personne à distance.
Agent double malgré lui
Paradoxalement, Jean-Pierre Girard se retrouve honoré par cette attention de la CIA. Ayant grandi dans des conditions difficiles, pupille de la nation élevé dans une étable, martyrisé par son instituteur, il trouve dans cette reconnaissance une forme de validation. Il accepte de travailler pour l’agence américaine.
Mais la CIA joue un jeu dangereux : elle l’envoie en Union soviétique en sachant que le KGB est déjà informé de sa collaboration avec les Américains. Il devient ainsi un agent double à son insu, transmettant des informations volontairement surévaluées par les Soviétiques pour désinformer les Américains.
En URSS, il est invité dans les centres les plus secrets, notamment à Serpoukhov pour observer les recherches sur les faisceaux de particules (la version soviétique de la guerre des étoiles), et à Tomsk où il assiste à des expériences psychotroniques militaires. Les laboratoires soviétiques de parapsychologie, rebaptisée psychotronique, fonctionnent sous tutelle de l’Armée rouge.
Les armes psychotroniques soviétiques
En Union soviétique, Jean-Pierre Girard découvre des programmes militaires utilisant les capacités psychiques comme armes. Il assiste notamment à une démonstration glaçante : un jeune sujet parvient à briser les vertèbres cervicales d’un détenu politique volontaire, simplement par la force de son esprit.
Les Soviétiques recrutaient leurs cobayes dans les goulags en promettant la liberté en échange de participation à des expérimentations médicales. Certains revenaient effectivement libres, ce qui encourageait d’autres volontaires, ignorant la nature mortelle de certains protocoles.
Il participe également à des expériences psychotroniques où un médium associé à des équipements émettant des basses fréquences parvient à influencer collectivement 120 personnes réunies dans une salle, à leur insu. Cette combinaison entre capacités psychiques et technologie représente une arme de manipulation de masse.
Lors d’une autre expérience à l’hôpital, il doit modifier le rythme cardiaque d’un sportif situé dans un pavillon voisin, isolé dans une cage de Faraday. Après avoir involontairement créé une bradycardie dangereuse (rythme cardiaque descendant sous 30 battements par minute), il provoque une tachycardie dépassant 160 battements, faisant s’effondrer le sujet.
Espionnage télépathique de haut niveau
Lors d’un congrès à Bratislava organisé par l’Institut psychotronique, Jean-Pierre Girard reçoit de la CIA la mission d’approcher un scientifique soviétique, Fatorovski, spécialisé dans la fabrication de lentilles au béryllium pour accélérateurs de particules.
Grâce à ses talents de télépathie et à sa mémoire eidétique (capacité de mémoriser visuellement avec une précision photographique), il parvient à s’entretenir en privé avec le scientifique dans sa chambre d’hôtel. Le KGB lui-même facilite cette rencontre, ignorant encore la vraie nature de l’échange.
Durant cette conversation, Jean-Pierre Girard capte télépathiquement les secrets de fabrication de composants stratégiques utilisés dans un accélérateur de particules de 13 kilomètres, des informations qui seront ensuite exploitées à Genève. Il peut même dessiner précisément ce qu’il perçoit mentalement grâce à ses capacités exceptionnelles de mémorisation visuelle.
Au service de la défense française
Jean-Pierre Girard ne travaille pas uniquement pour les agences étrangères. Il collabore également avec la Direction Générale de l’Armement française, auprès de l’état-major de la marine et de la gendarmerie. En 1983, durant un bref créneau politique, il échange même des courriers avec le ministre de la Défense.
Sa carrière militaire commence de manière prémonitoire : à sept ans, il dessine avec une précision troublante le char dans lequel il servira plus tard, incluant des détails techniques comme la tourelle biseautée et le barbotin d’entraînement de chenille. Cette capacité de précognition se manifeste après avoir été foudroyé, événement qui semble avoir déclenché ses facultés télépathiques sauvages.
Dans l’armement, il devient le meilleur vendeur de missiles de l’OTAN grâce à ses démonstrations de tir qui réussissent systématiquement, même en cas de problèmes techniques. Il crée également de nombreuses innovations pour la défense française et le secteur privé, utilisant ses capacités de créativité intuitive.
Quand Paris Match révèle tout
En 1996, Jean-Pierre Girard publie son livre Psychique, révélant son kidnapping par la CIA et ses missions en Union soviétique. Un article paraît dans Paris Match avec un titre explosif affirmant que le parapsychologue a berné le KGB pendant onze ans.
L’article crée un incident diplomatique. Jacques Chirac se rend à Moscou avec 50 000 exemplaires de Paris Match destinés aux Moscovites, sans savoir que le magazine ridiculise le KGB. L’ambassade soviétique exige que les pages concernées soient massicotées.
Jean-Pierre Girard, alors installé en Suisse, comprend qu’il est en danger. Le procureur de Genève met à sa disposition les services de renseignement suisses pour l’escorter jusqu’à la frontière française, où la DST prend le relais. Il échappe finalement à la vengeance du KGB grâce à la transformation de l’agence en FSB et à la reconversion de ses anciens dirigeants en oligarques russes, plus intéressés par leurs fortunes nouvelles que par de vieilles rancunes.
La mémoire eidétique : un don fulgurant
À 13 ans et demi, Jean-Pierre Girard quitte l’école avec seulement un certificat d’études primaire. Ouvrier dans une usine de Tours, il découvre par hasard dans une librairie un ouvrage de médecine : Précis d’histologie humaine. En le feuilletant, il ne comprend rien au vocabulaire médical.
Mais lors d’une sieste dans un parc voisin, en sommeil paradoxal, il revoit défiler les pages du livre avec une précision absolue. De retour chez le bouquiniste, il vérifie : sa mémoire photographique est parfaite. Pendant un an et demi, il acquiert ainsi un bagage équivalent à plusieurs années d’université en physique, médecine, astrophysique et physique théorique.
Cette capacité exceptionnelle, associée à ses talents télépathiques apparus après avoir été foudroyé à sept ans, fait de lui un espion hors pair. Il peut mémoriser visuellement des plans, des schémas techniques et des informations complexes lors d’une simple conversation, puis les restituer avec une exactitude photographique.
Créateur et innovateur inspiré
Au-delà de ses activités d’espionnage, Jean-Pierre Girard développe une brillante carrière d’inventeur. Il explique utiliser ses capacités psychiques non seulement pour la télékinésie, mais aussi pour accéder à une créativité intuitive exceptionnelle.
Parmi ses inventions grand public : le premier couteau à vitre électrique, un système antiblocage pour cycles (l’ABC de Look), et surtout Sterimar, le célèbre produit d’hygiène nasale. Son brevet de 1976 pour ce dispositif d’eau de mer sous pression est tombé dans le domaine public en 1996, permettant à d’autres laboratoires comme Humer de commercialiser des produits similaires.
Pour la défense, il améliore les performances de missiles et crée diverses innovations dans l’armement. Il travaille également pour l’industrie pharmaceutique, développant plusieurs médicaments dont certains sont encore prescrits en cardiologie. Sa méthode : une visualisation active combinée à une intuition fulgurante qui lui permet de concevoir un produit en quelques jours.
Guérisons et visualisation active
Jean-Pierre Girard pratique également des consultations de guérison, bien qu’il insiste sur le fait que 95 % du travail provient du patient lui-même. Son rôle consiste à être un déclencheur, permettant à la personne d’accéder à son propre pouvoir d’autoguérison.
Il raconte le cas de Franck, souffrant de névralgies du trijumeau, des douleurs faciales considérées comme parmi les plus insupportables en médecine. Après vingt minutes de consultation, Franck sort complètement soulagé, désorienté de ne plus ressentir la douleur permanente qui le handicapait jour et nuit.
Lui-même utilise la visualisation active pour maintenir sa condition physique. À 83 ans, il présente une musculature impressionnante sans pratiquer de gymnastique ni fréquenter de salles de fitness. Cette technique de visualisation permet également à des participants de ses stages de perdre du poids après avoir échoué avec tous les régimes traditionnels.
Il explique que la force de la visualisation, combinée à l’état d’évidence dont il parle constamment, active des processus de transformation physiologique. C’est cette même foi vibrante et certaine qu’il identifie chez les personnes ayant vécu des guérisons miraculeuses à Lourdes, où selon le docteur Patrick Theillier du bureau des constatations médicales, trois à quatre miracles authentiques se produisent chaque année.
Se protéger des attaques psychiques
Face aux capacités d’influence à distance qu’il a développées et observées, Jean-Pierre Girard enseigne des méthodes de protection. Contrairement aux idées reçues, ces protections ne reposent pas sur des rituels complexes, mais sur une simplicité déconcertante.
La clé réside dans la certitude intérieure et l’absence de peur. Les personnes qui craignent la magie noire ou les attaques psychiques deviennent perméables à ces influences précisément à cause de leur peur. Il explique que les praticiens de magie noire ont besoin de supports rituels pour sécuriser leur pratique, tout comme les tarologues s’appuient sur leurs cartes.
Il démystifie également les croyances autour de la magie noire : un magicien noir n’agit que si l’enjeu en vaut la peine, généralement pour des questions d’héritage important ou de vengeance sentimentale majeure. De plus, il existe un phénomène de choc en retour : toute action malveillante finit par se retourner contre son émetteur avec une force doublée, car le subconscient sait toujours quand on fait le mal, même si le mental rationnel trouve des justifications.
Dans ses stages, il enseigne comment développer cet état de sécurité intérieure, cette évidence de ne pas être perméable aux influences négatives, qui constitue la meilleure protection.
Le silence de la science officielle
Malgré des preuves scientifiques accumulées dans des laboratoires d’État, des publications dans des revues à comité de lecture et des attestations de scientifiques renommés, la communauté scientifique officielle maintient un silence embarrassé sur les capacités de Jean-Pierre Girard.
Il explique ce paradoxe par le phénomène de dissonance cognitive : face à quelque chose d’incompréhensible qui ne rentre pas dans leurs schémas mentaux, les sceptiques préfèrent nier l’évidence ou imaginer des subterfuges complexes plutôt que de remettre en question leurs certitudes.
Plus grave encore, il dénonce une volonté délibérée d’étouffement. Les États utilisent ces capacités à très haut niveau tout en les décrédibilisant publiquement. Aux États-Unis, l’opération Stargate a duré 25 ans, utilisant des médiums pour de l’espionnage à distance. En France, la Direction Générale de l’Armement a fait appel à ses services pendant des années. Pourtant, le discours officiel reste celui du scepticisme et de la moquerie.
Cette stratégie permet aux gouvernements et aux militaires de conserver un monopole sur ces techniques tout en empêchant le grand public d’y accéder. Jean-Pierre Girard voit dans ses stages, qui ont formé environ 4 500 personnes en vingt ans, une manière de semer des graines de conscience et de démocratiser ces savoirs.
Un parcours marqué par la résilience
Le témoignage de Jean-Pierre Girard ne serait pas complet sans évoquer les traumatismes qui ont jalonné son existence. Pupille de la nation élevé dans une étable, martyrisé par un instituteur boxeur qui lui a cassé des côtes et partiellement arraché une oreille, il a développé très jeune une capacité de résilience exceptionnelle.
À 15 ans, dans un pensionnat de l’assistance publique, il échappe à une tentative de viol collectif grâce à une vision précognitive qui lui permet d’anticiper les mouvements de son agresseur et de le neutraliser. Cet événement le pousse à développer sa force physique par compensation.
Ces épreuves expliquent en partie pourquoi, lors de son kidnapping par la CIA, il ressent une forme de reconnaissance troublante. Pour un jeune homme ayant grandi dans la marginalité et le mépris, être recherché par la plus puissante agence de renseignement du monde représente une validation inattendue.
Aujourd’hui, à 83 ans, il partage son expérience sans amertume, conscient que ses capacités exceptionnelles ne constituent pas un mérite personnel mais un don à transmettre. Sa mission actuelle consiste à former d’autres personnes, à leur montrer qu’elles possèdent elles aussi ces facultés latentes, et à contribuer à la reconnaissance scientifique et publique de ces phénomènes trop longtemps relégués aux marges de la connaissance.
Source : AMEDCINE TV































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