Une peinture rupestre aborigène de 5000 ans représentant les « Wandjina ». Connus sous le nom d’ « êtres du ciel »

Les êtres célestes des Wandjina : Un lien entre les anciennes peintures aborigènes et les extraterrestres ?

Les découvertes archéologiques continuent de nous surprendre, et l’une des plus intrigantes est celle des peintures rupestres aborigènes de la région de Kimberley, en Australie. Ces œuvres d’art, datant de 5000 ans, représentent des êtres connus sous le nom de « Wandjina », que les anciens Aborigènes considéraient comme des esprits célestes ou des créateurs. Cette représentation a suscité des comparaisons avec les « aliens gris » modernes, popularisés par la culture ufologique contemporaine. Cet article explore ces représentations fascinantes, leur signification et les implications potentielles sur notre compréhension de l’histoire et des phénomènes extraterrestres.

Les Wandjina : Des esprits célestes dans la culture aborigène

Les Wandjina occupent une place centrale dans les récits de création aborigènes. Selon ces traditions, les Wandjina étaient des êtres puissants, maîtres des éléments et des forces naturelles, et certains d’entre eux auraient même formé la Voie lactée. Les représentations picturales de ces entités dans les grottes de Kimberley sont frappantes : elles montrent des figures aux têtes disproportionnées, dépourvues de cheveux, avec de grands yeux noirs, sans oreilles ni bouche, et une peau blanche éclatante. Ces caractéristiques sont étrangement similaires à celles des extraterrestres gris que l’on retrouve fréquemment dans la littérature et les témoignages ufologiques modernes.

Richard Dolan, l’un des principaux chercheurs dans le domaine des OVNI, souligne que ces représentations n’avaient, jusqu’à l’avènement des observations modernes d’OVNI, aucune référence contemporaine pour les chercheurs. Avant que l’idée d’extraterrestres ne devienne populaire, il était difficile de comprendre pourquoi ces êtres divins étaient représentés de manière si différente des humains eux-mêmes. Cette absence de points de comparaison a longtemps laissé les chercheurs perplexes quant à la véritable nature des Wandjina.

L’art rupestre : Un témoignage universel ?

L’idée que ces représentations pourraient être plus qu’une simple imagination ou mythologie locale gagne du terrain. Des peintures similaires ont été découvertes dans d’autres régions du monde, renforçant l’hypothèse d’une interaction ancienne avec des êtres venus d’ailleurs. Par exemple, en Inde, dans l’état du Chhattisgarh, des peintures datant de l’époque préhistorique montrent également des figures étranges, souvent sans nez ni bouche, tenant des objets ressemblant à des armes, et parfois vêtues de ce qui ressemble à des combinaisons spatiales.

L’archéologue JR Bhagat, qui a étudié ces peintures, suggère que les humains de l’époque préhistorique pourraient avoir été témoins de visites extraterrestres ou, à tout le moins, auraient imaginé des êtres venus d’autres planètes. Les autorités locales ont même envisagé de solliciter l’aide de la NASA et de l’ISRO pour approfondir l’étude de ces peintures, tant leur mystère reste entier.

Des exemples à travers le monde

L’art rupestre en Lombardie, en Italie, offre également des exemples fascinants. Datant de l’âge du cuivre, il y a entre 5000 et 7000 ans, ces peintures montrent des figures ressemblant à des prêtres ou des dieux, chacune portant ce qui semble être un casque, plutôt qu’une auréole, avec des lignes droites s’étendant vers l’extérieur. Ces représentations ajoutent une nouvelle dimension à la théorie selon laquelle des êtres extraterrestres auraient pu interagir avec les humains dans un passé lointain.

Réflexion finale : Une connexion interstellaire à explorer ?

La question de savoir si les Wandjina et d’autres êtres représentés dans l’art ancien sont réellement d’origine extraterrestre demeure ouverte. Les implications d’une telle hypothèse sont vastes, non seulement pour notre compréhension de l’histoire humaine, mais aussi pour notre avenir. Alors que notre technologie continue de progresser, nous pourrions être en passe de découvrir que l’interaction avec d’autres civilisations, autrefois considérée comme du domaine de la science-fiction, fait partie de notre réalité. Ces réflexions suscitent une curiosité continue et une exploration plus approfondie des mystères de notre passé collectif.

En fin de compte, que ces êtres soient des créations mythologiques ou des visiteurs d’autres mondes, ils restent une partie fascinante de l’héritage culturel mondial, nous invitant à reconsidérer les frontières de notre connaissance et de notre imagination.